Nom & Prénom :: Towa. Surnom :: // Age :: indéfini. Sexe :: féminin. Nationalité :: japonaise. Lieu de résidence :: possède un temple dans le vieux Tokyo. Métier :: (surtout pour les humains) Orientation sexuelle :: pansexuelle. Groupe :: dieux - Towa est la déesse de la croissance, du temps passant. Pouvoir spécial :: Notre demoiselle peux rajeunir ou vieillir une personne, une plante ou un animal ou bien même des bâtiments mais elle n'utilise jamais cette capacité sur quelqu'un si ce n'est elle même. On dit pourtant que certain humain rajeunirais de quelques années à son passage. Arme / Shinki :: aucun Shinki connu pour le moment. Signe particulier :: Towa apparait sous les traits tantôt d'une douce enfant, tantôt d'une femme mûre.
Derrière l'écran
Prénom : POPOP. Age : 17 ans et 1 jour de plus *meurt*. PUF : Upeeke. Que penses-tu du forum ? : patate. Comment l'as tu découvert ? : papatoes. Codes du règlement : caramel. Autre :
Physique
Towa en tant qu'adulte, en tant qu'enfant ou en tant que femme possède ces traits délicats que ses camarades du même sexe. Féminine jusqu'au bout des ongles, à chaque gestes, à chaque battement de cils. Une chevelure flamboyante et organisée encadrant son visage enfantin. Deux yeux semblables à deux torrents contrastant avec cet orange de plus voyant. Sa taille changeant selon les années qu'elle prend, qu'elle perd et toujours pourtant cette peau claire, ce sentiment de quiétude lorsqu'on reste à ses côtés.
Caractère
Towa est calme, trop calme à tel point qu'elle en devient invisible. Sans dire un mot à moins que l'on ne l'aborde, sans dire à mot lorsque cela n'est pas nécessaire. Détestant les conversations mondaines et tout ce qui s'y rapporte, détestant tout autant que l'on attente d'elle de grand discours. Ceux qu'elle est pourtant capable de mettre en forme, de dévoiler à ceux qui lui prêteraient attention. Pourtant capable de ressentir toutes autres sortes d'émotions, toujours dans ce silence pesant, toujours sans que l'on ne prête attention à ces quelques changements d'humeurs. Si bien qu'il est rare de la voir affirmer ses sentiments, ses véritables pensées. Elle se plait pourtant dans sa situation. Et n'en demande pas plus. Towa effrayée de devoir renaitre, de devoir redevenir une enfant, tout autant pourtant qu'elle aurait peur de vieillir trop brusquement. Oubliant peut-être qu'elle ne le peut plus à présent, ou du moins plus véritablement. La déesse, pourtant, faisant preuve d'un grand instinct maternelle, d'une douceur esquisse et réconfortante. Sans doute est-ce l'effet de cette bouche toujours scellée, ou de ce regard bien vide tandis que toutes ces pensées s'entremêlent dans son esprit. Puisque Towa se contente de cela, plutôt que de cherche un quelconque contact avec un autre être de son espèce.
Histoire
Elle pleurait sans doute devant toutes ces prières qu'on lui adressait. Ces prières destinées aux nouveaux nés. Ces prières-là récitées par quelques mères, ou père, quelques figures bienveillantes. Et elle, pourtant, n'avait plus personne à regarder grandir. Puisqu'elle était une déesse. Une femme sans âge et qui jamais ne vieillirait. La mort même ne la ramènerait qu'à ce point de départ. Oubliant qu'elle y avait déjà gouté, qu'elle y gouterait encore. Alors, elle regardait grandir son propre corps, en attendant de retrouver tous ces noms oubliés. Ou d'un trouver de nouveaux. Oubliant les autres dieux comme elle l'avait toujours fait, de peur qu'il ne se souvienne d'elle, bien auparavant. Towa perdu dans cette solitude bien étrange, anormale, illogique. Sans doute attendant que quelqu'un lui demande de rester, de grandir et de rester en bonne santé. Que ces voeux là s'applique à elle, à ce corps qui ne fut jamais entièrement humain. Sans que Towa ne se souvienne de son passé et ne connaissance son passé. Perdue dans une vie infinie et répétitive. Sans se décider à veiller sur quelqu'un ou bien au moins, à trouver quelqu'un pour veiller sur elle. Pensant seulement, que n'importe qui aurait pu l'affaire. Que n'importe quelle main, n'importe quel souffle aurait pu la toucher du moment que cette personne-là aurait été aussi douce que tous ces souhaits délicats. Déjà, Towa en tant que déesse oubliant ces quelques responsabilités. Déjà, Towa répétant les mêmes erreurs encore et encore, jusqu'à ce que la mort retourne la chercher. Jusqu'à ce que sa propre symbolique s'applique à elle-même. Sans doute ayant possédé cette famille tant désirée dans le passé. Sans doute ayant été entouré de shinkis des plus respectueux, des plus aimés. Que la mort aurait emporté, qu'elle aurait relâché. Sans réellement sans souvenir, sans réellement le désirer d'ailleurs. Ayant conscience seulement de cette chaleur aimante qui manque alors à ses côtés, de ces jours passés qu'elle aurait oubliés alors. Sans que Towa ne puisse définir son histoire, ne puisse la conter ou y penser. Déesse depuis tant d'années, trop d'années.
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